Christophe Cellier, éponge n°50a photographie argentique, 1989.
Comme la plupart des corps visibles les
éponges absorbent la lumière et en renvoient une partie. Une spectrographie
pourrait nous renseigner sur leurs éléments constituants les plus intimes, pourtant même
à l’état d’image leur pouvoir d’absorption reste entier, le regard se perd dans
la matière. Le spectateur attiré par la multitude de cavités ne tarde pas à
répondre à cet appel.
Christophe Cellier.
Christophe Cellier, accrochage MUBA de Tourcoing, 1989.