vendredi 11 décembre 2015

Christophe Cellier, série "triptyques" décembre 2015.

Je porte mon attention sur l'image centrale en prenant conscience de la périphérie. 
Je me représente à la croisée des chemins pour défier l'avenir mystérieux et fatal.

Christophe Cellier série "triptyques", Léo Lequeuche décembre 2015.

vendredi 4 décembre 2015

Christophe Cellier "émergence du brouillard après la tempête" portraits novembre 2015.


Soudain le temps bascula et tout devint incertain ou du moins en apparence. Au fur et à mesure que le brouillard se dissipait nous prîmes conscience de notre communauté de solitudes. 

Christophe Cellier.


 
Léo par Christophe Cellier Novembre 2015.

















Danièle, Bertrand, Xavier, José par Christophe Cellier Novembre 2015.

Justine, Aubin, Charles, Caroline par Christophe Cellier Novembre 2015.

Stéphane, Christelle, Autoportrait, Caroll par Christophe Cellier Novembre 2015.

 
  Eric, Sophie, Ener, Danièle par Christophe Cellier Novembre 2015.

Eric, Christelle, Alexis, Thomas par Christophe Cellier Novembre 2015.
                 
Aina, Anaïs, Jérémie, José par Christophe Cellier Novembre 2015.

Blondin, Eric, Amandine, Yann par Christophe Cellier Novembre 2015.

              

lundi 2 novembre 2015

Christophe Cellier "sentinelles de 14-18", novembre 2015.


Christophe Cellier "sentinelles de 14-18", novembre 2015. 200x70cm

A l'aube je traverse une forêt de pierres levées et ma mémoire me fait défaut, pourtant ils sont là.

samedi 29 août 2015

Christophe Cellier, spirit of Mazeppa août 2015.

[...] Away, away, my steed and I,
      Upon the pinions of the wind,
     All human dwellings left behind ;
We sped like meteors trough the sky,
When with its crackling sound the night
Is chequer’d with the northern light :
Town-village-none were on our track,
        But a wild plain of far extent,
And bounded by a forest black ; [...]

Mazeppa, Lord Byron 1818.

 Christophe Cellier, Le mètre étalon 2010.

 Christophe Cellier, Mazeppa 2010.

 Christophe Cellier, Chloé et Orphée 2015.

 Christophe Cellier, an american horse 2012.

Christophe Cellier, Anywhere out of this world 2011.

samedi 22 août 2015

Christophe Cellier, That moving thing, introduction to moving pictures, august 2015.

Voici l'introduction de mon intervention concernant la photographie émouvante, texte que j'ai rédigé en août 2015 et que Dominique Paul a transposé en anglais. Le document est édité par ressort de créations visuelles et sa présentation publique accompagnée par le dispositif "escape fields" aura lieu hors territoire en mars 2016.
Christophe Cellier.









mardi 28 juillet 2015

Christophe Cellier, "éponges", accrochage au MUBA de Tourcoing, 1989.

Christophe Cellier, éponge n°50a  photographie argentique, 1989.

Comme la plupart des corps visibles les éponges absorbent la lumière et en renvoient une partie. Une spectrographie pourrait nous renseigner sur leurs éléments constituants les plus intimes, pourtant même à l’état d’image leur pouvoir d’absorption reste entier, le regard se perd dans la matière. Le spectateur attiré par la multitude de cavités ne tarde pas à répondre à cet appel.
Christophe Cellier.

Christophe Cellier, accrochage MUBA de Tourcoing, 1989.

lundi 27 juillet 2015

Christophe Cellier, "sur le chemin des coïncidences, je porte ma croix", juin 2015.


En douze images comme autant de stations,  je m’interroge sur la symbolique du corps de douleur.



 Station 1: l'histoire n'a pas de sens.

 Station 2: et sans doute, je préfère les images.

 Station 3: le temps s'est effacé à la faveur du temps.

 Station 4: c'est le début des successions imperceptibles.

 Station 5: la politique envahit la simple pratique.

 Station 6: le processus tout entier se met en scène.

 Station 7: le progrès conduit à l'érection des statues.

 Station 8: ils hésitent,...

 Station 9: chaque jour, j'aspire à l'au-delà.

 Station 10: la marche en avant détermine l'agonie.

 Station 11: la passion recherche ses héros dociles.

Station 12: à bien des égards les choses sont prévisibles.

Photographies et textes Christophe Cellier, juin 2015.